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Notes dublinoises

  • Mnémotechnie ou humour irlandais, le bus qui effectue le trajet entre le centre ville et l’aéroport est le 747.
  • Un peuple qui a érigé une bière en fierté nationale ne peut pas être foncièrement mauvais.
  • Les leprechauns existent, je les ai rencontré (dans un pub).
  • Le réseau social le plus utilisé par les dublinois est le pub.
  • Le Redbreast est définitivement un formidable Single Pot Irish Whiskey.
  • S’installer dans Temple Bar et profiter du réjouissant spectacle des enterrements de vies de jeunes filles et de vies de garçons…
  • Les dublinois sont des gens peu bruyants dont le niveau sonore augmente sensiblement à proximité des pubs.
  • Monsieur Guinness a combattu le Shérif de Dublin, eu 21 enfants et offrait à ses employés logement, mutuelle et bière. Intéressant personnage !
  • Au n°1, Merrion Square résidait Oscar Wilde. Sur la façade on peut lire l’impressionnant Curriculum Vitae de son père : Sir William Robert Wills Wilde –  1815-1876 – aural and ophtalmologic surgeon, archeologist, ethnologist, antiquarian, biographer, statistician, naturalist, topographer, historian, folklorist. »
  • Face à la maison d’Oscar Wilde, dans Merrion Square, on trouve une étonnante statue de l’auteur alangui sur un rocher de quartz de 35 tonnes, en veste d’intérieur verte à col rose, réalisée par Danny Osborne. Au pied de la sculpture, des piliers de marbre noir où sont inscrites des citations du poète : « Whenever people agree with me I always feel I must be wrong », « I can’t resist anything except temptation », « The well bred contradict other people, the wise contradict themselves »…
  • The Book of Kells : transcendance  et magie de la main humaine.
  • Mariage à College Chapel dans Trinity. Tenue, élégance et joie de vivre.
  • Partout, le double affichage anglais/gaélique. Le gaélique est enseigné à l’école jusqu’au bac mais souffre d’une désaffection de la jeunesse. Pourtant, surtout quand on est anglophone, quel bonheur de posséder une langue qui vous assure la confidentialité de vos conversations dès les frontières franchies !
  • Saint Stephen Green, un bonheur de parc où les irlandaises court-vêtues fleurissent au premier rayon de soleil.
  • Discussion autour d’un tonneau avec un étudiant brésilien, Hector, venu à Dublin parfaire son anglais. Une chose l’a particulièrement marqué : les policiers ne sont pas armés ! Un vrai choc culturel pour un habitant de Sao Paulo.
  • Au cours de ma promenade matinale dans Phoenix Park, toutes les personnes que je croisais me saluait avec aménité : hello, good morning, what a lovely day, what a beautiful day… puis j’ai repensé aux parisiens… j’ai failli pleurer.
  • Les irlandais sont beaucoup plus tactiles que les anglais. Notre hôtesse nous a même gratifié d’un chaleureux « hug » en nous laissant à l’aéroport.